Qui suis-je ?

Je m’appelle Abdoul Nasser.
Fils de Fati, elle-même fille de Soumana et de Hadiza.
Et fils d’Amadou, fils d’Oumarou et d’Aïchatou.
Je suis peulh, un peuple nomade d’Afrique de l’Ouest. Je suis né au Niger en 1984 (meilleure année, ne vous en déplaise !).

En bon nomade, j’ai vécu dans quatre pays et déménagé près d’une vingtaine de fois.
J’ai grandi en Belgique, ma terre d’accueil.

En 2002, sur un coup de tête, je me lance dans des études de tourisme.
Je passe ensuite deux décennies dans cette industrie à gravir les échelons : du service d’entretien au management d’hôtel, en passant par l’animation en club de vacances.

Sept établissements, deux décennies, et la fierté d’avoir accompagné 216 stagiaires et collaborateurs.
Officiellement, il s’agissait de les former à la réception.
Mais en réalité, il y avait plus que ça. Surtout des échanges.
Des questions posées : Qu’est-ce qui fait sens pour toi ? Pourquoi ce métier ? Et si ce n’était pas celui-là ?
Des débats, des discussions sur la vie, le monde, la famille.

En interrogeant leurs choix, leurs valeurs, leurs élans… j’ai mis en lumière mon essence à moi.
Ce qui m’animait profondément : aider chacun à mettre en conscience ce qu’il porte, ce qui l’anime, ce qui parfois le freine.

En 2021 : questionnements, épuisement, conflits de valeurs… burnout.
Ponctué par un accident de voiture. Tout s’écroule.

Quatre années à me reconstruire.
À réapprendre à écouter mes émotions.
À retrouver le plaisir.
À redevenir pleinement moi.

Je me forme alors à l’analyse transactionnelle, à la systémique, au reiki et aux constellations
familiales — les outils qui m’ont aidé à me relever.

Me voici donc aujourd’hui. En chemin.
Reconnecté à mon essence.
Et animé par l’élan de prendre soin, à travers ma pratique de thérapie holistique.

Je sais d’où je viens. Je sais où je veux aller.
Et j’ai envie de faire un bout de chemin avec vous.
Vous aidez à alléger la charge que vous portez sur cette route.